Conseils pour Voyager

5 conseils pour allier camping et moto

Camper à moto, liberté ultime
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La moto est synonyme de liberté… comme le camping. Camper dans la nature sauvage, tente d’un côté, bécane de l’autre : c’est le summum de la liberté. Mais pour voyager à moto sans se prendre la tête : simplicité, légèreté et compacité doivent être de la partie. On vous donne nos conseils pour rouler l’esprit (et la bagagerie) léger. Découvrez nos meilleurs conseils pour partir camper à moto.

1. Choisir le bon matériel : équipements de camping et bagages moto

Bagagerie et équipements de camping sont étroitement liés. Les équipements de camping que vous choisissez dépendent de la place dont vous disposez sur votre bécane. Ou plutôt dans votre bagagerie. Mais de la même façon, peut-être pensez-vous adapter votre bagagerie en fonction de votre matériel de camping ? Dans tous les cas, quel que soit le sens, il nous semble essentiel de choisir un matériel de camping compact, léger, pratique et durable.

Aussi, que ce soit après une grosse journée dans la boue ou une simple journée de route, on ne pense souvent qu’à une chose : se reposer dans le plus grand confort. Le matériel de camping peut vite être onéreux, mais si vous voulez du confort et de la qualité, nous pensons qu’il faut investir de ce côté. Ça, c’est dit. C’est bien beau de camper à la belle étoile, mais l’objectif c’est de se reposer entre les journées de roulage, pour attaquer les pistes en pleine forme.

La tente, spéciale road trip à moto

Côté tente, nous avons d’abord opté pour un modèle compact et léger pour deux personnes. Nous avons ensuite upgradé vers une tente trois personnes. Ici, on recommande plutôt de choisir une tente adaptée au nombre de passagers voire pour une personne supplémentaire si vous souhaitez avoir suffisamment de place pour y rentrer votre équipement lors de longs voyages. Orientez vous vers une structure pliable peut encombrante, au poids plume, et d’une bonne marque pour du matériel étanche, robuste et durable.

La tente spéciale « road trip à moto » n’existe pas, mais il y a quelques années, on a découvert Marmot. On a d’abord opté pour le modèle Tungsten 2P. Avec ses 2,3 kg, elle a été notre première tente de road trip à moto pendant près de deux ans. Il existe même une version UltraLight (UL) qui pèse 1 kilo de moins. On pouvait y rentrer quelques affaires à l’intérieur, mais pas l’intégralité de notre équipement moto qui restait dehors sous l’extension latérale du double toit imperméable. Pour notre voyage en Amérique Latine, on a upgradé sur la Limelight 3P. Seulement 600g de plus, et la possibilité de rentrer tout l’équipement sans se sentir à l’étroit.

Marmot, c’est une marque spécialisée dans l’équipement de trekking. Du coup, leurs tentes de camping sont ultra légères et leurs encombrements minimes… C’est cher, mais l’investissement est rentabilisé dans le temps si vous êtes adepte du camping à moto. Sachez aussi que le bon matériel de camping se vend plutôt bien sur le marché de l’occasion s’il est en bon état.

Le(s) matelas

Côté matelas, c’est la même chose : on conseille de ne pas forcément regarder le prix mais plutôt les paramètres de poids, confort, isolation thermique et encombrement. Alors oui, les matelas avec gonfleur sont clairement les plus confortables mais ils prennent aussi plus de place. Beaucoup plus de place. Choisir un matelas avec gonfleur, c’est transporter deux fois plus d’éléments. Pour allier camping et moto, il faut trouver le juste équilibre entre poids et confort.

Plusieurs options s’offrent à vous. Il y a d’abord les matelas autogonflants qui s’ajustent ensuite à la bouche. C’est ce que nous avions choisi au début, aux Etats-Unis. Malheureusement, ces matelas n’étaient pas très compacts et pas extraordinaires non plus en terme de confort. Comme on le disait plus haut, après une journée dans le sable, la terre, par terre : le confort est primordial. La forme n’était pas idéale non plus, façon tombe de Toutânkhamon. A moins d’être une momie, on se retrouvaient souvent avec un membre à même le sol.

Optez donc plutôt pour un matelas rectangulaire qui couvrira la majorité de vos mouvements sans vous envoyer au tapis contact direct du sol. Nous avons finalement opté pour un matelas de « compétition ». Gonflable avec une pompe type sac étanche. Il s’agit d’un sac dans lequel on emprisonne l’air extérieur, qu’on transfère ensuite directement dans le matelas pour le gonfler. Clairement, voici une vidéo pour mieux comprendre le système. L’avantage c’est que c’est léger et que ça ne prend pas de place. La pompe peut aussi servir de Roll Bag étanche pour transporter du matériel si besoin. Puisqu’il faut toujours un plan B, nous avons aussi acheté un petit souffleur USB compact, qui fait lampe et batterie externe. Pratique.

Pour les intéressés, notre matelas c’est le Exped Dura Duo. Il est extrêmement confortable, très isolant, relativement compact, et léger. Une fois plié, il occupe l’espace d’un sac de couchage. Ce qu’on adore, c’est que la partie droite et gauche se gonflent indépendamment l’une de l’autre. C’est l’avantage d’avoir un matelas unique, sans pour autant que les mouvements se propagent dans tous les sens. Dans tous les cas, comme pour les tentes, il faut viser léger, compact, et durable : pensez toujours à regarder du côté du matériel de trekking.

Pour ceux qui utilisent leur sac de couchage comme une couette plutôt qu’un sarcophage, on conseille d’emporter un drap léger pour ne pas être en contact direct avec le matelas gonflable. La texture et la forme « boudin » ne sont pas des plus agréables.

Le(s) duvet(s)

Bon, question duvet, c’est surtout fonction de votre destination et des températures qui vous y attendent. Une réflexion de frileuse cela dit, la tente est isolante mais elle ne vous apportera pas un surplus de chaleur. Le duvet, oui. Et je suis du genre à penser que sous une tente, il vaut mieux avoir trop chaud que trop froid. Pensez à ça, et comme toujours : légèreté et compacité.

De notre côté, nous avons investi dans ce qui s’apparente plus à des couettes qu’à des duvets. On est plutôt du genre à bouger la nuit, et on aime pas se sentir à l’étroit. Ça s’appelle un quilt dans le monde des campeurs. On a opté pour de la qualité une fois de plus. Onéreux au départ, mais un investissement largement rentabilisé avec le recul. Il s’agit des modèles Revelations de la marque Enlightened Equipment. Du sac de couchage en plumes d’oie ultra léger, ultra compact et… ultra chaud.

En combinant notre matelas pour deux, un petit drap housse et nos duvets, on se croirait dans un vrai lit. Vue sur les étoiles en plus. Enfin n’oubliez pas d’ajouter un petit oreiller pour sublimer votre cocon douillet. Personnellement, nous n’avons pas trouvé d’oreillers confortables et pratique pour camper à moto. N’hésitez pas à partager vos suggestions en commentaires ! On complémente toujours nos petits oreillers de camping compressibles avec quelques vêtements pliés en dessous.

 

La bagagerie moto

Partir camper à moto ou en road trip nécessitera forcément une bagagerie moto spécifique. Le volume dépend de la destination, de la durée du voyage, et de votre capacité à tout embarquer. Comme je le disais, équipements et bagagerie sont liés. De notre côté, la Super Ténéré était équipée d’un top case et de deux valises latérales Yamaha d’origine. Parfait pour l’équipement de deux voyageurs, mais un peu juste quand on y ajoute celui de camping. Si vous voyagez en solo, ce sera sans doute suffisant.

Les roll bag pour l’équipement de camping et autres sacoches

Pour nous, le « trick » consiste à transporter l’équipement de camping séparément, dans un sac étanche que l’on vient fixer sur une valise latérale grâce à des sangles. Il est pratique d’isoler le matériel de camping du reste lorsque l’on voyage à moto. De cette manière, on ne contamine pas nos affaires avec l’humidité d’une tente qui a mal séchée, et on peut laisser le tout de côté, les jours où on ne campe pas. Nous avons investi dans deux roll bag étanches de 51 litres : ils nous permettent de transporter au sec la tente pour tous nos road trips moto, notre matelas et deux petits coussins d’un côté ; puis les duvets, et le reste du matériel de camping de l’autre. Par ici pour le test longue durée des sacs étanches Enduristan Tornado.

Nous nous sommes aussi équipés d’une sacoche réservoir, pratique pour garder du matériel à portée de main (téléphones, appareils photo, connectiques pour les recharges, cartes, etc). Ça, c’est notre équipement et choix personnel. D’autant que nous sommes deux. Vous pouvez décider de voyager plus léger si vous êtes seul, ce que nous vous recommandons bien sûr ! Même si nous voyageons avec le minimum, nous sommes encore « lourds » et pouvons nous améliorer de ce côté-là.

dormir sur sa moto : le plus simple pour allier camping moto ?

Les affaires perso : apprendre à voyager léger

En termes d’équipements perso pour vous messieurs-dames, il est important de voyager léger. Ultra léger. Pas de tenue de soirée, pas de multiples paires de chaussures : juste le strict nécessaire (sauf au niveau des chaussettes !). En plus de l’équipement moto indispensable, pensez à embarquer des vêtements confortables, chauds et imperméables. Un pull, un pantalon de jogging ou legging, quelques tee shirts pour la route (dont un à réserver pour les soirées au propre), une paire de chaussures confortables, plusieurs paires de chaussettes, une paire de tongs, et un imperméable. Je pense que c’est pas mal.

Quand on pense strict minimum, on pense aussi aux affaires de toilettes : brosse à dents, dentifrice, savon, serviette légère (en microfibre par exemple). Lingettes bébé biodégradables ? Ce n’est pas le plus écologique mais bien pratique au milieu du désert. Evitez les parfums et produits parfumés, car si les animaux aiment les restes de nourriture, ils sont aussi parfois curieux du doux parfum de nos produits de beauté. Et les animaux, mieux vaut les garder éloignés en mode camping moto. Ce serait dommage de retrouver nez à nez avec un ours dans la tente…

Autres petits équipements pour camper à moto

Au-delà du matériel pour dormir, vous pourriez avoir envie d’embarquer avec vous du matériel… pour vous nourrir. Tout dépend bien sûr de où vous partez camper, et combien de temps. Personnellement, on voyage avec un petit réchaud et une bonbonne de gaz (moins de 250 g). Ce n’est pas grand chose mais ça dépanne en cas de besoin, et disons que c’est toujours sympa pour le thé ou le café du matin.

On a aussi un assortiment de casseroles et poêles pour cuisiner en camping de la marque Trangia. Ultra compact et plutôt léger. Un bon couteau est selon nous indispensable que vous choisissiez de cuisiner ou pas. Dans les essentiels, on peut citer aussi : une lampe frontale ou deux, un briquet ou des allumettes, et une trousse de secours.

2. Et les bonnes fixations

Au risque de nous répéter, nous avons déjà eu un petit accident… à cause d’un mauvais choix de chargement et/ou de fixation. Nous avions harnaché duvets et matelas gonflables sur la valise latérale droite avec de simples sangles à cliquets. Avec la vitesse, les mouvements et le poids du chargement, l’équipement a fini par glisser et s’est logé dans le passage de roue arrière. Une expérience qui nous a coûtée cher : une frayeur, un duvet et deux matelas.

Depuis, on est fan des sangles de la marque Rok Straps. Elles sont robustes, très durables, et permettent d’harnacher un tas de choses sur votre bécane. Un must-have… Du coup, c’est vrai que nous sommes devenus légèrement psycho avec ces installations. Vérifier régulièrement le bon harnachement de tout le chargement semble important : vérifier que tout soit bien serré, et bien empilé verticalement. Je jette un œil sur les valises, et l’installation, à droite et à gauche assez régulièrement depuis mon poste passager. Idem pour Max qui est au guidon.

3. Ranger et charger : garder l’indispensable à portée de main

Après avoir réfléchi à quoi emmener, il faut réfléchir à comment tout ranger. Car allier camping – moto revient à tout embarquer dans des bagages plus ou moins profonds, que l’on va décharger et recharger très souvent (surtout si vous êtes en mouvement). Du coup, on évite de placer l’appareil photo ou le vêtement de pluie au fin fond de la valise latérale par exemple. Pensez plutôt à regrouper les éléments semblables ensemble : matériel pour dormir d’un côté, vêtements personnels de l’autre, les indispensables technologiques et cartes devant dans la sacoche de réservoir, et les vêtements de pluie voire la trousse à outils dans le top case.

Au-delà de l’aspect pratique, l’autre élément important c’est l’équilibre de la moto. Autant que possible, les bagages et les éléments lourds doivent être disposés au centre de la moto et le plus bas possible pour ne pas trop déplacer le centre de gravité du véhicule. Il est important de répartir le poids des équipements entre les deux valises latérales (d’ailleurs, deux valises latérales semblent essentielles pour les mêmes raisons d’équilibre), et de garder le top case relativement léger.

4. Moto et chargement : les choses à vérifier

Moto nue et moto chargée pour aller camper, et bien ce n’est pas la même. En route, il semble important de vérifier de temps en temps le bon état des pneus et la pression. A ce propos, pensez aussi à l’adapter à votre chargement avant le départ, et régulièrement au cours de votre road trip. N’oubliez pas que s’il est important de voyager léger, c’est aussi pour ne pas dépasser le poids recommandé par le constructeur. Jetez un œil à votre carte grise pour vérifier ça (le poids est affiché en face du point F.2).

Bon quand même, restons réalistes : les constructeurs ont tendance à se la jouer ultra-prudents, et cette restriction est parfois difficile à respecter. Surtout quand on voyage à deux. Mais c’est bien de s’en rapprocher… Pensez aussi à régler le phare de la moto, si nécessaire, pour que le faisceau éclaire bien… la route, plutôt que les autres usagers. Vous pouvez aussi régler les suspensions en fonction du poids du chargement et du terrain qui vous attend.

Pour tout ce qui est révision de la moto avant départ, vous pouvez jeter un œil à la partie révisions de la moto de notre article sur les essentiels pour partir en road trip.

5. Se préparer aux intempéries : sortir couvert

De ce côté-là, c’est vrai qu’il n’y a pas de GROSSE différence avec un road trip classique. Mais pensez au fait que si vous devez camper après vous être pris une grosse saucée, vous allez avoir froid et du mal à faire sécher vos affaires. Je parle en connaissance de cause : on s’est pris un gros déluge premier jour de notre road trip en Italie. Et nous devions dormir sous la tente. Meilleure façon d’attraper un rhume le premier jour des vacances. Du coup, on n’oublie pas d’opter pour des équipements étanches ou des sur-équipements (pantalon de pluie, veste étanche). Plusieurs paires de chaussettes peuvent être nécessaires (du moins, si vos bottes ne sont pas étanches). Et bien sûr, des vêtements de rechange et confortables, et chauds.

Bon, vous devriez être prêt à prendre la route… et à camper à la sauvage. N’hésitez pas à commenter cet article si vous avez d’autres questions ou des suggestions. Et avant de partir, on vous conseille de jeter un oeil à notre article sur les essentiels de la trousse à outils moto ou encore, sur notre article pour voyager léger à moto.

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bon voyage à moto

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10 Commentaires

  • Jean-Luc Bouyrie
    28 février 2021 at 23 h 30 min

    Mais qui a écrit cet article ? Accorder autant d’importance aux chaussettes ! Cest justement l’habit le plus inutile . Pffeee
    Jean-Luc

  • Max
    1 mars 2021 at 1 h 02 min

    Mon cher Jean-Luc,

    Tout vient du fait que nous avons écrit cet article à 2 (4 mains donc et 2 esprits). Moi (Maxime), je conseille de réduire le nombre de paires de chaussettes au strict minimum. Mathilde, de son côté, opte plutôt pour un maximum de confort (et un maximum de chaussettes). Chacun fait ce qu’il veut après tout, c’est la moto qui porte 😉

    Et merci pour votre commentaire, nous espérons que cet article vous a apporté quelques informations utiles (hormis les chaussettes).

  • Paulo
    5 octobre 2021 at 9 h 41 min

    Bonjour, concernant chaussettes et sous vêtements j’emporte toujours plusieurs (voyager oui mais pas besoin de sentir le bouc), j’emporte des chaussettes avec trous ou slips usagés que je peux jeter après usage et garder deux ou trois en meilleur état pour la fin, que je peux laver si nécessaire. Bonne route à tous.

  • Max
    11 octobre 2021 at 13 h 58 min

    Merci pour votre commentaire Paulo !
    C’est vrai que l’idéal, surtout quand on part pour longtemps, est de pouvoir laver entre temps…
    Bonne route ✌️

  • Karl
    25 avril 2023 at 9 h 11 min

    merci de partager votre expérience et continuez de voyager .Je m’en inspire pour mon futur .

  • Max
    25 avril 2023 at 12 h 38 min

    Salut Karl ! Merci à toi, contents que tu trouves des infos dans nos articles. Bonne route.

  • Pierre Deveaux
    11 juin 2023 at 15 h 24 min

    Je partage assez largement vos avis/recommandations, notamment sur le matelas gonflable à l’aide d’un sac de gonflage : celui choisi (187×58cm) fut le plus compact possible.
    Pas eu besoin, jusqu’à présent, de placer un bagage au-dessus des valises rigides. Je retiens les sangles ROCK straps mais, pour un usage similaire, j’ai utilisé des ceintures de pantalon élastiques – satisfaisant.
    En 2021, j’ai voyagé avec en selle arrière une tente « pop-up » bon marché censée se replier à Ø39cm. Sauf que je ne suis jamais arrivé à la replier à cette menue dimension… Mais un Ø65cm ne demande qu’un cordage pour devenir un ovale… Cela dit, ces quelques cm supplémentaires en selle arrière mon m’ont fait ch…anger de couleur pendant 3 mois – elle est passée à la benne ! Remplacée par une tente de meilleure qualité, compacte assez que pour être avalée par un top case adopté en 2022, j’ai toutefois observé qu’un déploiement de 2 secondes avaient été plus sympa que les … 45 minutes exigées par cette remplaçante et … ma maladresse. Je songe à acquérir une nouvelle pop-up à entrée latérale. Son Ø72cm, martyrisé en un ovale, devrait être gérable s/top case. Ah! Cette manipulation sauvage la déformerait un peu comme sa devancière mais « faire joli » n’est pas dans mes critères. La prise au vent, certes… Mais le haut carénage de ma R45RT et le top case y contribuent déjà largement – conduite prudente dans tous les cas, voire arrêt le temps qu’une tempête se calme (Hollande, février 2022).
    Voyageant à la carte routière-papier (…), il me fallait un sac de réservoir avec une réelle fenêtre A4. Après un essai très insatisfaisant avec un modèle d’une marque bien connue, j’ai opté pour un sac de réservoir de chez LOUIS (Art. No. 10068994) : deux-peccable !
    Bonnes routes à toutes et tous, Pierre Deveaux – Bruxelles

  • Max
    12 juin 2023 at 13 h 49 min

    Bonjour Pierre,

    Merci de partager ton expérience !
    Concernant les ROCK straps, on ne les remplacerais pour rien au monde. Elles sont presque indestructibles, et servent à harnacher tout et n’importe quoi. Du ballot de bois au carton de vivres en passant par la planche de surf. Concernant la tente, on n’est pas forcément fans des « pop-up » car elles ne sont pas forcément idéales en termes d’ergonomie une fois pliées. On reste avec Marmot pour la robustesse, la finition, l’ergonomie, la facilité d’utilisation. En tout cas, le voyage à la carte, ça fait rêver… Merci pour la reco’ concernant la sacoche de réservoir, nous n’étions pas familier avec la marque.

    Bonne route !

  • Geoffrey Ansiaux
    18 janvier 2024 at 8 h 13 min

    merci pour tout ces conseils utiles!!!! Juillet 2024, direction le Cap Nord en camping sauvage le plus souvent!

  • Max
    18 janvier 2024 at 10 h 12 min

    Merci Geoffrey pour ton commentaire ! Ca va être une belle aventure ça, amuses toi bien.

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